J’ai regardé Kirsten dans les yeux et je lui ai dit : « Je m’inquiète de ce qui arrivera au Canada lorsque Dieu te ramènera chez elle. Car ton sacrifice (en refusant l’euthanasie et même les médicaments) retient, je crois, la main de la justice pour ce pays – un pays qui a adopté la culture de la mort comme solution à ses problèmes, du ventre maternel au tombeau. Parfois, il suffit d’une ou deux âmes pour changer le cours du temps… » Puis je lui ai partagé ce passage du journal de sainte Faustine…
Lire Quand le sacrifice n’est plus plus grand par Mark Mallett à Le mot maintenant.